La boîte à idées - Le blog de Jean Chambard

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Les différents types de motos - Partie II

Paris, le 7 septembre 2020

 

 

Dans la partie I, j'ai rebalayé tous les styles classiques et grand public de la moto. Du roadster à la Custom en passant par les Trails et autres Motocross. Dans cette partie II, j'aborde des styles plus personnalisés et sans doute plus confidentiels.

 

Partie II : les styles plus personnels

 

1 - Les néo-rétros

2 - Les Café Racers et Brat Style

3 - Les Scramblers et Trackers 

 

4 - Les Trikes, side-cars et autres 3-roues

5 - Les motos à 4 roues

 

 

Partie II : les styles plus personnels

Cette partie est essentiellement consacrée aux motos préparées. Je commence néanmoins par une catégorie appelée néo-rétro, qui mélange 3 éléments clés : le modernisme de l'électronique et de l'injection (d'où le côté néo), le look vintage des anciennes motos (d'où le côté rétro) et la personnalisation propres aux Customs.

 

1 - Les Néo-Rétros

Si vous vous en souvenez, j'avais déjà consacré un article complet aux néo-rétros. Il date un peu mais le marché n'a pas sensiblement évolué depuis. Les constructeurs baptisent cette gamme Héritage, Classic ou encore Vintage...

 

Cette mode du rétro surfe sur une certaine nostalgie. Forcément, c'était mieux avant ! Elle ne touche pas que les motos d'ailleurs, mais aussi les voituresd.  On a ainsi vu renaître la Fiat 500, la Mini Coopers ou encore la Volkswagen Coccinelle et la Renault Alpine A110.

 

Le néo-rétro (ou modern classic en anglais), donc, désigne une moto à la mécanique et aux technologies modernes (comprenez un moteur aux normes Euro et avec beaucoup d'électronique) associées à un design qui renvoie à une époque donnée, celle de l'âge d'or de la catégorie de la moto en question. La réinterprétation des productions est cependant très variable d'une marque à l'autre. On trouvera donc tous les styles et plus ou moins d'électronique dans la mécanique.

 

 

Les modèles les plus emblématiques de la moto rétro sont la Triumph Bonneville T120, la Kawasaki w800, la Norton Commando et la Royal Enfield Bullet 500. Mais on pourra aussi citer la BMW R Nine T, qui a relancé la mode à grande échelle, ou ceux qui ont suivi la mode comme Husqvarna avec leurs très réussies Vitpilen et Svartpilen, ou Yamaha avec leur SCR 950 ou les omniprésentes MT-07 et MT-09 mises à toutes les sauces avec les versions XSR 700 et 900 (On aura ainsi usé de la MT du roadster au GT-Sport en passant par le rétro).

 

 

 

 

 

 

Les néo-rétros répondent à de multiples besoins, et c'est peut-être là la raison de leur succès. Ce sont des motos "sages" qui privilégient lesthétique à la performance. Un peu comme les motos "Customs", mais en moins bling-bling, moins ostentatoire. Mais elles jouent aussi la carte "nostalgie" à fond. Leur allure est calquée sur d'anciens modèles à succès que beaucoup regrettent et rêvent de voir renaître.

 

Mais contrairement à une réelle rétro, qui vient avec son lot de pannes mécaniques et de manque de pièces détachées, la néo-rétro n'offre que du plaisir. Leur conception moderne leur permet de rouler vite et loin, comme le ferait un roadster, le tout avec un meilleur confort et une meilleure tenue de route qu'une moto classique.

 

Mais surtout, celui qui roule en néo-rétro a envie de rouler différemment des autres. Une différence qu’il peut cultiver par l’éclectisme et la multitude de l’offre, composée de plusieurs sous-catégories, comme les Café Racers, Bratstyles, Scramblers et autres Street-Trackers que je vous présente juste après.

 

 

2 - Les Café Racers et Bratstyles

Les Café Racers

 

Le café racer désigne généralement une moto monoplace au style rétro, possédant un guidon bas (deux guidons bracelets), et très peu voire aucun carénage ;

 

Le terme "Café Racer" est né en Angleterre dans les années 60. De jeunes motards "rebelles" (pléonasme diront certains) se lançaient un simple défi : Faire l'aller-retour entre 2 cafés, le tout avant que le juke-box ne finisse de jouer la chanson lancée à leur départ. Cette pratique est surnommée "record-race".

 

Pour aller le plus vite possible, ces jeunes anglais ont alors allégé (et donc personnalisé) leurs motos. Toutes les pièces inutiles de confort ont été enlevées (un peu comme les Bobbers dont je vous ai parlés dans la première partie, mais les Bobbers n'ont pas vocation à faire des courses) et les moteurs préparés de sorte à gagner en puissance.

 

Un Café Racer est donc une moto légère et épurée. Ses signes distinctifs sont : une selle coque monoplace, des guidons bracelets, des commandes reculées pour une position sportive, un phare rond avec ou sans tête de fourche rétro et peu de carénage.

 

Le café racer est avant tout une affaire de préparateurs spécialisés, mais il existe aujourd'hui une offre industrielle avec une certaine personnalisation. La plupart des constructeurs ont simplement adapté leurs néo-rétros en intégrant une tête de fourche façon rétro (voir celle de la R Nine T par exemple) et une selle coque, comme on peut le voir sur la Kawasaki Z900 RS version café racer. Les plus belles productions restent encore pour moi celles de Norton.

 

 

 

 

Aujourd’hui, la vitesse n’est plus véritablement recherchée comme à l'origine. Il s’agit surtout de personnaliser sa moto en y mettant sa patte. Posséder une moto unique, avec un look bien à soi et une âme vintage, voici ce qu’est l’esprit Café Racer. Même s'il est possible d'acheter un café racer chez un  constructeur, le mieux reste encore de passer par un préparateur spécialisé.

 

Pour préparer un café racer, il faut donc une base. A savoir une moto vintage que l'on va transformer. Les meilleures bases (qui sont souvent utilisées par les préparateurs) sont les Honda série CB (CB550, 650 et 750), la BMW série R (R80, 90, 100), la Yamaha série XS (XS650, 750 et 850) et Virago, la Kawasaki série Z (les anciennes 650 notamment), la Honda CX500 ou la Suzuki LS650 (Savage). Les transformations sont souvent spectaculaires et toujours uniques, comme on peut le voir ci-dessous.

 

 

Transformation Honda CB550 Transformation BMW R80

 

 

Les Brat Style

 

 

Le saviez-vous ? Le terme "Brat style" ou tout simplement "Brat" trouve ses origines dans un magasin de moto de Tokyo, au Japon, géré par Go Takamine et nommé "Brat Style". Takamine a développé, au travers de ses préparations, un design tout particulier, design qui a été ensuite repris et imité à travers le monde entier. Le nom propre de ce magasin, "Brat Style", est ainsi devenu un terme générique désignant une moto préparée selon ces codes, un peu comme les marques Frigidaire (pour réfrigérateur), Kleenex (pour mouchoir) ou Klaxon (pour avertisseur sonore).

 

Il n'existe pas de définition précise de ce design. Tout au plus peut-on dire que c'est une préparation très proche de celle du café racer, avec une selle plate et souvent raccourcie. La selle adopte la ligne d'un skateboard ou d'une banane. La moto est rabaissée et équipée de pneus surdimensionnés (façon Scrambler), d’une belle ligne d’échappement (mais ce n'est pas propre aux Brat) et d’un guidon rehaussé, clairement moins sportif mais tellement plus cool et confortable qu’un Café racer.

 

Le Brat Style se crée donc en mêlant beaucoup de café racer avec une pointe de Scrambler pour les pneus et une touche de Tracker, pour le guidon haut, deux styles dont je vous parle juste après. Pour bien comprendre la différence entre une moto Café Racer et une Brat Style, voici une Triumph Bonneville transformée en Café Racer et la même transformée en Brat Style.

 

 

Bonneville d'origine Bonneville Café Racer Bonneville Brat Style

 

 

On peut voir que le Café racer adopte la tête de fourche, un guidon bas et la selle coque, tandis que la Brat Style adopte un guidon plus haut et une selle plate. Le préparateur (Moto Tamarit) n'a pas changé les pneus et c'est sans doute ce qui manque pour un vrai Brat Style abouti mais le principal y est et l'idée ici est surtout de vous monter les différences entre Néo-rétro, Café Racer et Brat Style.

 

Voici maintenant quelques préparations typiques du Brat Style, avec selle plate façon skate board, guidon relevé, ligne d'échappement retravaillée et pneus larges façon Scrambler ou Tracker :

 

 

Evidemment, les mélanges étant permis, on trouvera des préparations adoptant la selle plate du Brat Style et le guidon plat du café racer. Comme cette Honda ci-dessous. La taille des pneus fait pencher la balance côté Brat Style mais le guidon reste celui d'un café racer.

 

 

 

 

Les Café Racers et Brat Style s'adressent aux puristes qui aiment les motos préparées, qui ne recherchent pas forcément le confort et la vitesse, mais la simplicité et le style d’une sportive vintage remise au goût du jour.

 

Il est bien sûr possible d'acquérir des motos typées Café Racers issues des chaînes de montage des principaux constructeurs mais la meilleure façon de procéder reste encore de passer par un préparateur spécialisé, tels que Blitz Motorcycles ou Le French Atelier. Mon propos n'est néanmoins pas de vous donner une liste des meilleurs préparateurs. Il vaut mieux faire une recherche selon la marque de la moto que vous voulez préparer et votre région de résidence.

 

 

3 - Les Scramblers et Trackers

 

Les Scramblers

 

Si les Café Racers sont nés dans l'Angleterre des années 60, les Scramblers sont quant à eux nés dans les années 20. L'Angleterre de l'époque est fan de courses motorisées. Elle organise alors de nombreux "trials". Ces courses n'ont rien à voir avec les compétitions modernes d'aujourd'hui telles que j'ai pu les décrire dans la partie I.

 

Il ne s'agit pas en effet de jouer à l'équilibriste dans une course d'obstacles mais d'aller d'un point A à un point B, le plus vite possible, en prenant des libertés avec l'itinéraire. Comprenez en sortant de la route. Il fallait donc des motos sachant aller aussi vite sur route que sur dans les chemins.

 

Un scrambler, c'est donc un échappement plus haut pour gagner en garde au sol et surtout ne pas le détruire bêtement sur le premier caillou venu, un moteur avec plus de couple que de puissance, une moto simple et légère parce qu'elle peut finir dans un fourré ou dans un fossé et qu'il va falloir la remonter voire la réparer rapidement, un petit réservoir parce que si la course est amusante, elle ne dure pas longtemps, une grille de protection pour le phare et des pneus tout-terrain (TT), pour passer dans la gadoue.

 

 

Il existe donc 2 manières de créer un scrambler : prendre une "routière rétro" et la transformer pour lui permettre de faire un peu de tout-terrain, ou à l'inverse prendre un Trail au look rétro et le transformer pour le rendre plus sportif. Car au final, les Scramblers sont aux Trails ce que la néo-rétro est au roadster.

 

Parmi les Scramblers du marché, on pourra citer la BMW R Nine T scrambler, les Ducati Scrambler 800 et 1100, la Mash 400 Scrambler, la Moto Guzzi Scrambler, les Norton Atlas Ranger et Nomad, la Triumph Scrambler 1200 et la Yamaha SCR950 Scrambler. Ces motos, en dehors de la Ducati 800, trahissent légèrement le style Scramblers par leur poids et leurs cylindrées, mais on leur pardonnera volontier...

 

 

 

Les Scramblers "Desert Sleds"

 

Il existe une variante à la catégorie Scrambler, la « desert sled », destinée à rouler dans les étendues désertiques du Nevada, de la péninsule de basse Californie mexicaine (Baja)  ou dans la Sierra Madre .

 

La Desert Sled est équipée d’un imposant pare-pierre protégeant le bas moteur. Car le Le terme « sled » viendrait de la contraction de « Skid Plate » soit sabot-moteur ou de la forme de ce dernier qui ressemble à une luge (« sled » en anglais).

 

 

Une Desert Sled, c'est donc une moto du type scrambler, d'une cylindrée généralement supérieure à 650 cm3 (de nos jours), équipée de pneus à crampons, d'un sabot moteur de protection, d'un guidon d'enduro, d'une tête de fourche constituée d'un plaque à numéro (comme les trackers ci-dessous) ou d'un phare grillagé, et d'un échappement haut comme le scrambler.

 

Elle a souvent un réservoir d'essence plus grand qu'un scrambler ou qu'un enduro comparable et n'a pas les carénages et le pare-brise d'un Trail.

 

Ci-dessous, vous pouvez comparer la Ducati Scrambler et sa version Desert Sled (sans sabot moteur, mon dieu quelle hérésie !) 

 

 

Autres exemples de péparation "Desert Sled", sur la base d'une Triumph Bonneville. Sur la première photo, on retrouve les pneux à crampon du scrambler, mais l'échappement n'est pas assez haut et il manque le sabot. Notez la tête de fourche avec la plaque à numéro que l'on retrouve également sur le côté, comme sur un tracker.

 

Sur la seconde photo, on retrouve les pneux à crampon du scrambler, ainsi que l'échappement haut et  le fameux sabot moteur en forme de luge. La fourche s'orne d'un phare grillagé pour protéger le phare.

 

 

 

 

Les Trackers

 

Les Trackers font référence aux courses américaines sur pistes en terre battue nommées Dirt Track des années 30. Les pilotes de Dirt Track, amoureux de leur moto, ont décidé de les transformer pour les conduire sur route dans la rue d’où le nom de Street-Tracker. Ils ont donc ajouté des phares, des rétroviseurs, un klaxon et un frein avant dont elles étaient totalement dépourvues.

 

Les Trackers se composent généralement d’un petit réservoir, d’un guidon large et courbé vers le pilote, de grandes jantes à rayons, d’une plaque à numéro en guise de tête de fourche et pour finir d’une selle coque monoplace très fine comme en témoigne la célèbre Harley-Davidson XR750 (cf. image ci-dessous).

 

 

 

Autre exemple typique de tracker : une préparation à base de Royal Enfield Interceptor 650. On remarquera la plaque à numéro en guise de tête de fourche, plaque que l'on retrouve également sur le coté, le guidon haut courbé vers le pilote et la selle coque très fine.

 

 

 

Le style Street-Tracker s’inspire donc de ces motos de course de l’époque. Voici une version Street-Tracker de la même Royal Enfield Interceptor 650. La selle adopte plutôt le style rétro que tracker (encore un mélange des genres), et un phare remplace la plaque à numéro, mais on reconnait toujours le fameux guidon recourbé et les roues à rayons.

 

 

Voici encore 2 beaux exemples de préparation dans le pur style Street-Tracker, à base de Honda cette fois-ci:

 

 

Notons enfin que Mash propose une Street-Tracker de série, la bien nommée "Dirt Track 650" :

 

 

 

 

 

Les Scramblers sont des motos rétros, conçues à l'origine pour la course et sachant faire un peu de off-road. Bien que les Scramblers ne soient plus forcément destinés aux chemins boueux, leur style rétro et agressif, ainsi que leurs pneus à crampons séduisent toujours énormément.

 

Les Street-Trackers seront plus adaptés aux amoureux des mono ou bicylindres avec du couple, à position droite, aux lignes très fines et épurées. La Street-Tracker est en effet plus légère qu'un Café Racer et moins puissante qu'un Scrambler. Sa simplicité et son petit côté moto de course de drift avec ses plaques à numéros plaira aux motards esthètes.

 

 

 

Partie II : les styles plus personnels

 

1 - Les néo-rétros

2 - Les Café Racers et Brat Style

3 - Les Scramblers et Trackers 

 

4 - Les Trikes, side-cars et autres 3-roues

5 - Les motos à 4 roues

 

 

4 - Les Trikes, side-cars et autres 3 roues

Les Trikes
 

Le terme original anglophone est une abréviation de tricycle et bike. Un Trike est donc un cycle motorisé à trois roues symétriques, une sorte d'engin hybride à trois roues, mi-motocyclette/mi-automobile. Ces engins sont soit conçus comme des originaux (Typiquement la Harley-Davidson Tri-Glide ou le Rewaco Grand Tourer et ses 2 places à l'arrière) ou dérivés d'une moto de série (moto-trikes).

 

Harley-Davidson CVO Tri Glide

 

Rewaco Grand Tourer

 

La Honda Goldwing GL 1800 est un exemple de moto-trike, c'est à dire un Trike dérivé d'une moto de série.

 

 

 

On trouvera aussi des Trikes originaux tels que les BRP Can-Am Spyder ou Ryker : les deux roues sont positionnées à l'avant, contrairement au Trike traditionnel. On conserve le plaisir de rouler à l'air libre, comme les autres motos, mais la sécurité est améliorée par l'ajout d'une roue avant.

 

 

 

 

Les side-cars

 

Un side-car est une motocyclette pourvue d'une troisième roue latérale (à droite ou à gauche), permettant d'ajouter un « panier », généralement destiné à héberger un ou plusieurs passagers.

 

Comme le Trike, le side-car réunit les avantages de la moto et de la voiture (sensation de liberté lié à la circulation à l'air libre, stabilité, etc.), mais également les inconvénients (circulation, stationnement, manque de protection contre les intempéries, capacité de bagages réduits, etc.).

 

On trouvera essentiellement des préparations ou occasions, comme ces belles personnalisations à base de BMW R Nine T. Ou encore cette IndianScout préparé par Riva, qui construit d'habitude des bateaux.

 

 

 

Mais chose assez rare, vous pouvez aussi acquérir des side-cars neufs de la marque Ural (prononcez Oural). Ils nous viennent droit de Sibérie. C'est un peu la Traban du side-car. La moto est neuve mais la technologie est antédiluvienne.

 

 

 

Les Scooters à 3 roues

 

Je les mentionne au passage mais cette partie II est dédiée aux motos aux styles plus confidentiels et plus personnalisés, pas aux productions de grande série. On trouvera aussi cette bizzarerie qu'est la moto à 3 roues de Yamaha, la Niken. Un truc qui pèse une tonne et donc sous-motorisé, car basé sur la MT-09 (encore elle) mais qui facilite grandement les prises d'angle et donne donc du plaisir en virage.

 

 

 

Les motos à trois roues sont faits - mais cet avis n'engage que moi - pour des gens qui ont envie de vivre les sensations de la moto, mais avec d'avantage de sécurité et de confort (sauf peut-être pour le side-car, vraiment compliqué à conduire).

 

5 - Les motos à 4 roues

Pour finir en beauté ce panorama,  soyons fous ! Rajoutons encore une roue à nos tricycles, ce qui nous donne des quadricycles.

 

Le quad, ou quadricycle, est un cycle à moteur non couvert, tout-terrain, monoplace ou biplace à quatre roues. En Amérique du Nord, on utilise le sigle ATV, abréviation de All-Terrain Vehicule pour désigner les quads. Il est aussi connu familièrement sous le nom de « quatre-roues ».

 

Initialement à vocation utilitaire, le quad est de plus en plus employé comme véhicule tout-terrain de loisir, car sa facilité de conduite en fait un véhicule accessible à tous pour la balade sur les chemins. Il y a aussi de grandes compétitions en quad dans plusieurs classes dont le supermotard, le cross et enduro.

 

 

Pas sûr qu'on soit encore sur une moto, mais bon... Il faut bien de tout pour faire un monde. Alors quoi que vous chevauchiez, je vous souhaite une bonne route.

 

Et n'oubliez pas : quelle que soit la modification que vous apporterez à votre moto, elle doit rester homologuée.

 

 

 

 

 

 



23/09/2020
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