La boîte à idées - Le blog de Jean Chambard

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Mon jardin secret


Fabriquer un piège à moustique écologique

 

 

Ce n'est pas la petite bête qui va manger la grosse ? Sans doute pas mais elle pourrait déjà la tuer. L'animal le plus dangereux pour l'homme n'est pas celui que l'on pourrait croire. Il s'agit en effet du moustique. Avec 725 000 morts par an, il devance l'homme (qui est un loup pour l'homme c'est bien connu) avec 475 000 morts / an et le serpent, avec 50 000 morts annuelles. En fait, ce n'est pas le moustique lui-même qui tue, mais les maladies - comme la malaria - dont sont porteurs ces petits insectes volants.

 

Alors comme les beaux jours reviennent, voici de quoi passer quelques soirées tranquilles sur votre terrasse ou dans votre jardin sans vous faire manger.

Ces petits insectes volants sont en effet porteurs de nombreuses maladies, dont la malaria, qui tue chaque année des centaines de milliers de personnes dans le monde.

En savoir plus : http://www.maxisciences.com/moustique/quel-est-l-039-animal-le-plus-mortel-de-la-planete_art32497.html
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 Construire un piège à moustique

Il vous faut : 

 

  • 1 bouteille en plastique de 2 litres

  • 200 ml d’eau tiède

  • 50 g de sucre ; vous pouvez aussi utiliser le pifomètre mais le poids permet de donner un ordre de grandeur.

  • 1 g de levure de boulanger  (ou à défaut de la levure chimique, mais qui sera moins efficace)

 

Comment procéder

Coupez la bouteille en plastique au 2/3, la partie du goulot faisant 1/3, la partie basse faisant 2/3. Mettez de côté pour le moment le goulot.


Remplissez le bas de la bouteille avec l’eau tiède et le sucre, mélangez- bien et  laissez refroidir.


Quand l'eau a refroidi, saupoudrez la levure de boulanger, sans remuer, sur toute la surface de l’eau.


Placez le goulot de la bouteille (tête vers le bas), dans la moitié basse de la bouteille et scotchez, comme sur l'image ci-contre. Vous pouvez également entourez le bas de la bouteille d’un papier noir jusqu’au-dessus du liquide pour le masquer, cela sera encore plus efficace.

 

Il ne vous reste plus qu'à placer votre piège dans un coin de votre terrasse ou pas trop loin de vous dans le jardin.

 

16/05/2016
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Comment lutter contre les pollens, poussières et autres acariens

 

Le saviez vous ? Aujourd'hui, un français sur quatre souffre d'allergies, et 10 % de la population peut le devenir, même sans antécédents familiaux. Dans une famille où 1 parent est allergique, les enfants ont 20 à 40 % de risques de le devenir. Si les 2 parents souffrent d'allergies, l'enfant le sera aussi dans 50 à 80 % des cas.

 

L'allergie aux pollens et autres poussières se traduit généralement par des éternuements à répétition, des démangeaisons au niveau du nez et des yeux, voire une conjonctivite, une gène respiratoire qui peut e transformer en asthme, etc. Elle génère aussi une grande fatigue chez les personnes qui y sont sujettes.

 

Je suis moi-même allergique à tout ce qui poils de chat et de chiens , poussières, pollens tandis que ma femme se prétend totalement immune. Cependant, nos enfants sont tous trois très allergiques. Alors malchance, ou allergique qui s'ignore du coté de ma femme ? Le fait est que nous avons du prendre quelques mesures drastiques en matières d'allergènes. Voici un petit récapitulatif des contre-mesures à adopter d'urgence si votre nez vous démange.


1 - Aérez

Nous passons la grande majorité de notre temps (80 à 90% pour les urbains) dans des lieux clos. Or l'air à l'intérieur des bâtiments est 5 à 10 fois plus pollué qu'à l'extérieur. Acariens, blattes, moisissures, animaux, mais surtout les  produits ménagers, les peintures, les moquettes ou parquets et leur fameuses colles, le tabac, les parfums d'ambiance, voire même des plantes sont autant de sources libérant des composés organiques volatils à l'origine de nombreuses irritations et allergies.

 

  • Aérez quotidiennement votre habitation et votre lieu de travail (si cela est possible) ; Il est recommandé d'aérer les lieux clos environ 15 minutes par jour. Idéalement, tôt le matin, ou le soir, en dehors des pics de circulation, afin de ne pas faire rentrer la pollution (et les pollens) venant de l'extérieur. Notez qu'il existe des capteurs permettant de mesurer (grâce à des mesures optiques) la qualité de l'air ambiant. C'est notamment le cas de la station météo connectée de Netatmo.

  • Aérez votre literie : les acariens résistent mal aux températures fraiches… Aussi, tous les matins, ouvrez votre literie en grand (relevez le drap supérieur, ou rabattez la couette au pied du lit) et laissez le matelas « respirer » et « refroidir ». Une fois que le matelas est à température ambiante, et donc débarrassé de la chaleur de votre corps, n’hésitez pas à ouvrir la fenêtre et laisser l’air frais du matin entrer. Notez qu'il existe aussi des aspirateurs spécifiques pour literie, qui vous permettent d'éliminer poussières et acariens.

  • Protégez votre literie avec une housse anti-acariens efficace, en polyuréthane, qui couvre les 2 faces du matelas, et éviter les oreillers en plumes et couvertures en laine

 

2 - Dépoussiérez

Les acariens adorent la poussière. La meilleure manière de les éliminer est donc d'éliminer aussi la poussière. Mais encore faut-il éviter pour cela de générer des nuages...

 

  • Rangez et entretenez régulièrement les espaces de vie (cela évitera les poussières où vivent les acariens) et surtout équipez-vous d'un aspirateur avec filtre HEPA (High Efficiency Particulate Air Filter : la plupart des bons aspirateurs en sont équipés). Un ménage régulier, une à deux fois par semaine, est indispensable. De manière générale, évitez les détergents chimiques, dont les composés s'évaporent et restent en suspension dans l'air. Pour les poussières, l'idéal est de passer un chiffon humide sur le mobilier ou un plumeau électrostatique. Pour l'entretien des sols, un aspirateur doté d'un système de filtration HEPA permet de retenir les particules allergènes les plus fines. Une personne allergique optera sans hésiter pour un modèle avec sac.

  • Lavez le linge de maison à 60°C (température à laquelle disparaissent les acariens).

  • Proscrivez tapis et moquettes (de véritables nids à acariens) et préférez les parquets ou le carrelage.

 

3 - Assainissez et purifiez

Acariens et moisissures se développent avec l'humidité. Pour vous aider à rétablir un taux d'hygrométrie adapté dans les pièces mal isolées, pensez au déshumidificateur d'air ou mieux à la VMC (mais il faut y avoir penser dès l'installation), et aérez ! 

 

Il existe trois types de déshumidificateurs :

 

  • Les déshumidificateurs à condensation : l'air est amené par un ventilateur sur un évaporateur où il est refroidi sous sa température de point de rosée puis sur un condenseur ou il est à nouveau réchauffé pour atteindre sa température d'expulsion. Il nécessite la présence d'un compresseur dans sa conception, un peu de la même manière que dans un réfrigérateur ou une climatisation (les deux fonctions sont d'ailleurs souvent regroupées dans un même appareil).

  • Les déshumidificateurs à adsorption  : l'air est amené par un ventilateur sur une roue alvéolée enduite de gel de silice qui capte superficiellement l'humidité contenue dans l'air. La roue de gel de silice est à son tour désaturée d'humidité par de l'air chauffé appelé air de régénération.

  • Les déshumidificateurs à absorption : l'air humide entre en contact avec un sel hygroscopique chlorure de calcium… (qui absorbe l'humidité dans des conditions standards). La solution obtenue s'écoule dans un réservoir. Le sel hygroscopique souvent conditionné en sachet ou cartouche doit être remplacé régulièrement. C'est ce dernier type d'appareil que vous trouverez sur le marché domestique.

 


Un purificateur d'air peut également être utilisé en prévention, pour assainir l'air d'une pièce. Il est particulièrement recommandé aux personnes allergiques qui ont un animal de compagnie, afin de capturer les allergènes.

 

Il existe trois grands types de purificateurs d’air :

 

  • Les purificateurs d’air avec filtre HEPA (les mêmes que ceux que vous trouvez dans de nombreux aspirateurs).

  • Les purificateurs d’air avec photocatalyse, un phénomène de radicaux libres d’oxydation résultant de la réaction photocatalytique, une réaction d’oxydation connue, capable d’oxyder les cellules des micro-organismes et d’entraîner leur destruction.

  • Les purificateurs d’air ioniseur. Les ioniseurs d’air luttent contre les allergènes, les odeurs, la moisissure...Ils produisent une réaction chimique qui génère des ions négatifs (anions) qui amalgament les particules en suspension. En les chargeant négativement, la poussière, les pollens, les poils d'animaux et tout autre composé organique volatil (COV) nocif tombent au sol ou se fixent au mobilier. En revanche, ils ne traitent pas les pollutions chimiques de type industriel et domestique, ni les bactéries et virus dans l'air. Il est nécessaire de compléter leurs actions par d'autres types de purificateurs, en général, à filtres HEPA. Certains appareils cumulent d'ailleurs ces deux technologies, voire d'autres.

 

On trouve aussi des purificateurs par combustion, ou plasma...mais ces derniers ne sont pas adaptés à un usage domestique car encore très chers. C'est le cas des purificateurs de la société Air-Serenity, située à Orsay sur le plateau de Saclay (juste à côté de chez moi !). Enfin, les derniers nés des purificateurs d'air utilisent l'adsorption, comme ceux de la société Ethera.

 

Vous l'aurez néanmoins compris, ces appareils coûtent chez à l'achat, cher à l'entretien (sel hygroscopique à renouveler, filtre HEPA à changer régulièrement, consommation d'électricité à réévaluer) et sont aussi bruyants. Il vaut encore mieux aérer, même si en hiver, c'est un peu difficile...


24/04/2016
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Comment éliminer la mousse de son gazon

 

Vous possédez un jardin d'ornement. Comme beaucoup d'entre nous, vous avez planté un beau gazon. Et tout l'été, vous y avez chanté, joué et roulé dessus. Mais l'hiver venu, vous avez vu la mousse envahir peu à peu votre belle pelouse et se développer d'année en année. Certains vous diront que la mousse, c'est naturel et que cela donne du charme à votre jardin. Mais la mousse est l'ennemie de votre gazon. Elle l'étouffe et la tue, ne laissant derrière elle qu'un champ de boue : car la mousse est une plante sans racine ; lorsque vous courrez ou vous vous roulez dessus, elle s'arrache, laissant apparaître la terre nue. Il faut donc s'en débarrasser.

 

Oui mais comment ? Avec un anti-mousse, qui pollue la nappe phréatique et favorise la réapparition de la dite mousse, vous rendant esclave à vie de ces produits ? Que nenni. Avec des produits relativement courants, comme de la chaux, du sable, de l’engrais, de l'huile de  coude et quelques outils de jardinier ! Mais pour pouvoir éradiquer la mousse, il faut s'attaquer aux racines du mal et donc d'abord savoir d'où vient votre problème. Et les causes peuvent être multiples comme nous allons le voir.


Pourquoi la mousse se développe sur la pelouse ?

La mousse se développe sur une pelouse quand elle rencontre les conditions favorables suivantes :

 

  • Votre terrain est humide : l'hiver, votre pelouse est constamment humide au toucher, voire il y a souvent de l’eau stagne en surface (un peu comme dans une rizière).

  • Votre sol est mal aéré : quand un sol est trop compact, les racines des plantes (y compris celles de votre gazon) ont du mal à se développer. Il faut donc ameublir une terre trop compacte, ce que font naturellement les vers de terre de vos jardins.

  • Votre sol est argileux : une terre argileuse se reconnait facilement car elle gonfle au contact de l’eau et prend cette consistance et couleur caractéristiques de l'argile dont on fait les pots en terre, la terre devient lourde, collante et compacte mais se craquelle en séchant. Un sol argileux sera mal aéré, car l’argile est compacte et s'agglutine en grosses mottes. Et comme l’argile retient l’eau, un terrain argileuse sera aussi bien souvent humide. C'est le double effet de l'argile. L'argile se réchauffe mal aussi au printemps, puisque compacte. Mais l'argile n'a pas que des défauts : elle retient les éléments nutritifs (azote, phosphore, potassium, etc.) dont ont besoin les plantes pour se développer.

  • Votre sol est trop acide : Pour le savoir, il suffit de mesurer le pH de votre sol avec un petit papier pH, que l'on trouve en bande ou en kit dans les jardineries, amazon.fr, et autres boutiques en ligne. En fonction de l'acidité de votre sol, la bandelette vire à l'orange ou au vert. Un ph acide, c'est à dire inférieur à 6 (entre aune foncé et bleu) favorise l'apparition des mousses.

  • Votre terrain est -trop- ombragé : votre pelouse n’est donc jamais directement au soleil, ou seulement quelques heures dans la journée. Dans nos contrées urbaines, il n'est en effet pas rare que le jardin soit ceinturé par quatre haies ou hauts murs, ou cachée sous un arbre au feuillage dense.

  • Votre sol est pauvre en éléments nutritifs, notamment en potasse, en magnésium et en calcaire. Ces éléments sont nécessaires à la bonne croissance du gazon. Une terre pauvre est souvent caillouteuse ou sableuse, sèche et comme son nom l'indique pauvre en humus. Une terre de jardin idéale est une  terre bien équilibrée en argile, sable, calcaire et humus : 20 % d'argile, 10 % de calcaire, 65 % de sable et 5 % d'humus.

  • Vous tondez votre pelouse trop court : car on a souvent tendance à couper court : cela fait propre (comme dit mon coiffeur) et on y revient moins souvent. Mais en fait, il ne faut pas tondre sa pelouse en dessous de 7 à 8 cm. Un gazon de 4 cm par exemple peut clairement être considéré comme trop court.

 

Vous l'aurez compris, on ne soigne pas un terrain argileux comme on soigne une terre trop pauvre ou peu ensoleillée. Votre diagnostic effectué, passons en revue les remèdes.

 


Comment éradiquer la mousse ?

Hypothèse n°1 (la plus courante) : votre sol est trop argileux ; il est donc humide et mal aéré. Il faut donc (a) favoriser le drainage de l'eau et (b) aérer le sol. Les solutions que nous allons voir marche donc aussi pour les sols simplement trop humides, ou mal aérés.

 

Aérer votre sol avec des chaussures (ou semelles) à pointe. Très simple d’utilisation, il suffit de les enfiler et de marcher dans votre jardin. Votre poids créera naturellement des trous dans le sol. Comme vous pouvez le voir sur l'illustration, ce ne sont pas des petites pointes mais de vrais clous !

 

Scarifier votre sol, c’est à dire enlevez les résidus de tonte, les mousses et les racines mortes. Ceux-ci créent une barrière de protection qui retient l’eau, un peu comme une éponge. On utilise pour cela un scarificateur manuel pour les petites surfaces, ou un scarificateur (à moteur) électrique voire un scarificateur (à moteur) thermique pour les pelouses plus importantes.

Ajouter du sable, juste après avoir scarifié ou aéré votre pelouse. Le sable va pénétrer dans le sol, rendra la terre moins compacte et permettra à l’eau de s’écouler en créant un drainage naturel. Vous trouverez du sable dans les Points P, Leroy Merlin et autres magasins en matériaux de construction. Pas la peine d'acheter du sable fin pour bac à sable.

 

 

Hypothèse n°2 (tout aussi courante) : votre sol est trop acide

Quand on veut lutter contre la mousse, on utilise naturellement un produit anti-mousse. C'est logique. Tous les produits anti-mousse que vous trouverez en jardinerie (Truffaut, Jardiland, Gerbaud, etc.) sont à base de sulfate de fer. C'est radical. Cela tue la mousse en 15 jours. Mais le sulfate de fer a pour inconvénient de rendre votre sol plus acide. L’acidité d’un sol empêche les racines du gazon d’absorber complètement les éléments nutritifs dont les herbes ont besoin et favorise la mousse qui adore ce genre de sol.

 
Pour rétablir la neutralité du sol, rien de plus simple. Il suffit d'utiliser une matière utilisée depuis des millénaires, la chaux. Elle se présente sous forme de poudre ou de granules, facile à épandre sur votre gazon.

 

 

 

 

 

 

 

Hypothèse n° 3 : votre terrain est trop ombragé

Là par contre, c’est plus compliqué ; on ne peut pas changer la course du soleil. L’idéal est de planter du gazon spécial terrains ombragés. Les graines ont été sélectionnées pour résister au peu d'ensoleillement. Si l'ombre vient d’un arbre, élaguer-le ou coupez-le carrément, vous serez sinon bon pour recommencer régulièrement.

 

 

Hypothèse n° 4 : votre sol est trop pauvre
Si le sol n’est pas assez riche en éléments nutritifs, le gazon ne pourra pas bien pousser. Il faut donc l'enrichir avec de l'engrais. Privilégiez un engrais biologique ou organique, riche en potassium, magnésium et calcium (oui, on dirait une pub pour des compléments minéraux qui donnent bonne mine). Ce sont des minéraux indispensables à la bonne croissance de la pelouse. Certains engrais permettent aussi de s’attaquer aux rhizoïdes de la mousse Ce sont ces rhizoïdes, que l’on prend à tord pour des racines, qui permettent à la mousse de s’accrocher au sol. Faites attention à ne pas choisir un engrais contenant du fer, qui rendrait le terrain acide. Il faudrait alors rajouter de la chaux...un cercle infernal !

 

L’engrais est à mettre principalement pendant les saisons du printemps (mars et avril) ou de l’automne (septembre et octobre).

 

 

 

Hypothèse n° 5 : vous tondez trop court

Ne tondez pas trop court. Attendez que votre gazon mesure 11 ou 12 cm de hauteur pour le couper et le rabattre à 7 ou 8 cm. Pour cela, il suffit simplement de régler la hauteur de coupe de votre tondeuse. A part celles sur coussin d'air, toutes les tondeuses disposent d'un même dispositif, illustré ci-dessous.

 

 

 

En résumé

Pour avoir une belle pelouse et se débarrasser de la mousse, il faut :

  • Scarifier votre gazon, l’aérer avec des semelles à pointe et ajouter du sable (dans le cas ou votre sol est argileux, mal aéré et humide).

  • Ajouter de la chaux (si votre sol est trop acide, surtout si vous avez utilisé des produits anti-mousse ou des engrais à base de fer)

  • Utiliser un gazon spécial zone ombragé si votre terrain est à l’ombre, ou essayer de retrouver le plus de soleil possible, en taillant ou coupant vos arbres par exemple (personnellement, j'ai abattu mon cerisier qui avait fini par couvrir presque entièrement mon gazon, et qui était malade qui plus est).

  • Utiliser un engrais organique/biologique pour apporter des éléments nutritifs à votre gazon.

  • Tondre régulièrement la pelouse, mais pas trop court (8 cm minimum)

 

Après çà, votre gazon devrait ressembler à çà :

 


09/04/2016
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